Comme la plupart des avocats du cabinet, je suis entré chez MB comme stagiaire. Après les cours du matin à l’École du Barreau, je travaillais l’après-midi chez MB.
30 ans plus tard, c’est avec enthousiasme que j’y exerce encore ma profession, dans un environnement de travail stimulant.
J’ai une pratique passionnante en droit du travail et en droit de la santé. La clientèle que je représente œuvre en grande partie dans le secteur de la santé et des services sociaux. Les dossiers qui me sont confiés touchent souvent aux droits et libertés de la personne. J’ai le privilège de plaider régulièrement devant les tribunaux administratifs, les arbitres de griefs ainsi que les tribunaux supérieurs (Cour supérieure et Cour d’appel). Une partie fort motivante de mon travail est de conseiller les hautes directions dans des dossiers complexes ayant parfois des impacts médiatiques.
Il y a 5 ans, mes associés m’ont demandé de prendre le rôle d’associé directeur du cabinet. Ceci implique notamment de représenter MB dans ses relations contractuelles, de déterminer les orientations stratégiques du cabinet et d’assurer la saine gestion de ses finances. Je m’assure aussi, avec l’appui du comité de direction, de mettre en place les politiques internes visant à favoriser notre pratique de rigueur dans un environnement propice au développement de chacun de nos membres.
La notoriété de MB passe par la qualité des professionnels qui y travaillent. C’est l’un des aspects dont je suis le plus fier. Tous travaillent avec cet esprit de dépassement.
La pérennité du cabinet dépend justement de la relève. Je m’assure que nos stagiaires et avocats disposent de ce dont ils ont besoin pour se développer à plein. Notre programme de mentorat vise justement à adapter le développement de chacun au niveau où il est rendu dans sa pratique.
MB a aussi à cœur le développement personnel de ses membres hors du bureau. Nous sommes persuadés que le bon développement professionnel passe par une vie personnelle (familiale, sportive, culturelle) satisfaisante. C’est dans cette optique que le cabinet a adopté une politique formelle visant à confirmer le droit à la déconnexion. Oui, la carrière d’avocat demande une grande implication. La vie personnelle tout autant. Nous sommes persuadés qu’il est tout à fait possible de combiner les deux.